Acrobate sur la ligne imaginaire. Le blanc des pages, c'est là où je compose —
C'est comme la millième fois, à nouveau. Toujours le bordel sur la table, rouge aux joues, rouge au désert ; dessert dégueulasse vite expédié. Et traine au fond des oreilles Suck It & See des Arctic Monkeys, on commence, je recommence. Les Desert Boots loin du sable, mais le pied marin en marinière dégueulasse. Et lorsque le réveil sonne, je m'évade, vague à l'âme. La mer n'est qu'une passion de trop, j'allume une cigarette et la fumée, que dis la fumée ? Qu'il est temps d'aller au lit, réfléchir sur l'envie. Je mate des génériques débiles de manga des années 80 et 90. Des pans de jeunesse à en tapisser les murs, je ne suis pas vieux pourtant, juste barbu. Et lorsque les portes du train se ferment, chaque matin, je me dis que je suis heureux.
Je recommence, à la ligne, la ligne. Comme la millième fois, en mieux. Je rattrape ce que je me suis interdit de dire. Bienvenue, je crois. Au revoir : sans doutes.
C'est comme la millième fois, à nouveau. Toujours le bordel sur la table, rouge aux joues, rouge au désert ; dessert dégueulasse vite expédié. Et traine au fond des oreilles Suck It & See des Arctic Monkeys, on commence, je recommence. Les Desert Boots loin du sable, mais le pied marin en marinière dégueulasse. Et lorsque le réveil sonne, je m'évade, vague à l'âme. La mer n'est qu'une passion de trop, j'allume une cigarette et la fumée, que dis la fumée ? Qu'il est temps d'aller au lit, réfléchir sur l'envie. Je mate des génériques débiles de manga des années 80 et 90. Des pans de jeunesse à en tapisser les murs, je ne suis pas vieux pourtant, juste barbu. Et lorsque les portes du train se ferment, chaque matin, je me dis que je suis heureux.
Je recommence, à la ligne, la ligne. Comme la millième fois, en mieux. Je rattrape ce que je me suis interdit de dire. Bienvenue, je crois. Au revoir : sans doutes.