Les violons dans la gorge nouée et je ne vais pas plus loin. L'air à l'Ouest, le pas de travers et la tête à l'Est. Mes doigts gourds ont fini de voyager ; "Merci de ne pas penser aux rues pavées d'amour."
// Plus bas que terre, il n'y a plus rien. Alors je me calcine, au milieu du vide. Mon coeur ne cesse, d'arrêter de battre : ivre, il ne restera rien de nous. C'est ce que je constate avant l'ultime verre de whisky. A l'autre bout du monde, on vie tout de même et cela n'a rien d'exceptionnel quoique quiconque en dise.
La béatitude rigide me laisse de marbre, et je laisse les mots tirer vers le transparent ; (trans)lucide. Avec le vent, les lettres se mélangent en une langue inconnue. Quand je pense à l'horreur , il fait nuit.
Et quand je pense à moi au réveil, je me sens vide de n'être qu'un homme / un reste de valse / une caricature ; un fugace instant de superbe sur lequel je m'appuie.
J'ai besoin de repos, et l'été meurt comme si le feu des jours pouvait trouver une raison de vivre dans le mistral glacé. Nord dans la tête, les pieds sur le sol. j'ai atterri violemment. Mais enfin, j'ai les pieds au sol. Alors c'est comme ça, je ne vole plus : c'est l'été, c'est meurtrier.
// Plus bas que terre, il n'y a plus rien. Alors je me calcine, au milieu du vide. Mon coeur ne cesse, d'arrêter de battre : ivre, il ne restera rien de nous. C'est ce que je constate avant l'ultime verre de whisky. A l'autre bout du monde, on vie tout de même et cela n'a rien d'exceptionnel quoique quiconque en dise.
La béatitude rigide me laisse de marbre, et je laisse les mots tirer vers le transparent ; (trans)lucide. Avec le vent, les lettres se mélangent en une langue inconnue. Quand je pense à l'horreur , il fait nuit.
Et quand je pense à moi au réveil, je me sens vide de n'être qu'un homme / un reste de valse / une caricature ; un fugace instant de superbe sur lequel je m'appuie.
J'ai besoin de repos, et l'été meurt comme si le feu des jours pouvait trouver une raison de vivre dans le mistral glacé. Nord dans la tête, les pieds sur le sol. j'ai atterri violemment. Mais enfin, j'ai les pieds au sol. Alors c'est comme ça, je ne vole plus : c'est l'été, c'est meurtrier.